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La vie c'est un peu comme un sandwich...

La vie c'est un peu comme un sandwich...
  • On a beau faire, on a beau dire, la vie est une suite de piles de bonheurs et de malheurs comme des tranches de pancetta ou de cornichons dans un sandwich : c'est plus ou moins heureux, doux, acide ou rebutant...
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9 février 2013

WE BOUGHT A ZOO, C. Crowe, 2011

(je préfère le titre original, plus funky que la version française certes plus évocatrice mais presque trop : Un nouveau départ)

affiche we bought a zoo

Bon, il faut que je te dise que j'avais a-do-ré Rencontre à Elizabethtown (2005) du même réalisateur avec Orlando Bloom et Kirsten Dunst (♡). Exactement le genre de film intimiste, drôle, décalé, bien écrit et superbement filmé (c'te putain de lumière !). Bref, un film qui n'a pas très bien marché (et beaucoup ne l'ont pas aimé), les producteurs ont pas dû gagner beaucoup de sous avec mais je m'en cagne, c'est un plaisir délicieux pour moi.

Là, c'est pas la même chose, pas la même magie, sûrement moins d'élan, moins de grandeur mais une vraie chaleur, une très belle direction d'acteurs et une putain de lumière ! Crowe a un talent incroyable pour maîtriser des contre-jours d'une beauté inouie (ok, je dois être le seul que ça fasse triper mais en tant que photographe, c'est tellement casse-gueule que j'admire ce boulot).

Matt Damon réaffirme à qui veut l'entendre qu'il sait faire autre chose que des passes au rugby et trouer le cul des agents secrets qui lui collent au derche : il sait jouer la comédie. Scarlett Johansson est Scarlett Johansson et je n'ai toujours rien de plus à dire car il n'y a rien à dire mais à goûter le plaisir de la voir vivre, respirer, sourire - tu auras remarqué mon absence totale d'objectivité et tu auras raison.

 Bref, un film d'une belle chaleur, sans grande ambition mais atteinte - ce qui est déjà une gageure.

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4 février 2013

HUNGER GAMES, G. Ross, 2012

Si tu aimes le salami, Koh-Lanta et les teenagers, ce film est pour toi. Pour les autres, passez votre chemin. Le jeu de Jennyfer Lawrence consistant à mimer un salami qui tue des écureils avec une flèche dans l'oeil et taper du pied en disant : "Ils m'ont énervée !" m'a laissé pantois et le buzz qui l'entoure est un mystère aussi profond que la Trinité. Atterrant.

Et, pour le reste, film sans imagination. Que dalle. Seul Woody Harrelson, en mentor alcoolique, mérite le détour. Je préfère, de loin, regarder trois épisodes de Gossip Girl. C'est dire.

30 janvier 2013

La quenotte (1ère partie)

quenotte1

quenotte2

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quenotte10

 

28 janvier 2013

Buzot Strikes Back

Fin de l'abstinence. Je sors du tunnel où j'étais coincé, je vois une grande lumière vive et ma vie qui va filer à nouveau sous tes yeux, lecteur intrépide !

I'm back now !

backandroll

27 janvier 2012

What's that (2) ?

whatsthat2

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21 janvier 2012

LES AFFRANCHIS, Martin Scorcese, 1990

affiche les affranchis   Rien de plus à dire sur ce chef d'oeuvre qui n'aurait déjà été dit autre part en mieux. Une caméra incroyablement inventive et des acteurs impeccables.

   Mention particulière pour le plan-séquence où le héros-narrateur, Henry Hill (incarné par Ray Liotta) emmène sa future femme dans le mustgo de l'époque d'un New-York mafieu suivis par une caméra qui se love dans cette plongée et descente aux enfers comme une mélodie lancinante dont on ne se débarasse plus après. Magique.

   Histoire de se laver un peu les mains de tout ce sang, écoutons avec plaisir le tendre hommage d'Alexis HK au film avec ce clip ahurissant de têtes connues (de Mathias Malzieu à Yves Duteil en passant par Stomy Bugsy, yo !).

20 janvier 2012

Mi-Cho-Ko™

   Entre deux films, quelques dessins-interludes-chocolat pour vous les raconter. Si vous voyez de quoi il s'agit...

20012012a

20012012b

 

 

20012012c

 

 

20012012d

 

   En plus de ça, un Prince of Persia : Les sables du temps de Mike NEWELL (2010) avec promesses de danses enivrantes (et sueurs) orientales, de quelques scènes de décapitations de principe et de giclures sanguignolentes sur mon bel écran tout neuf. Mais en fait rien, que dalle, production Disney oblige, il faut se farcir un humour à la Benjamin Gates et tout au plus entr'apercevoir un ventre... Et dire qu'il y avait la sexy et mutine Gemma Arterton en Princesse Orientale... Du gâchis vous dis-je !

19 janvier 2012

What's that (1) ?

dés

16 janvier 2012

Où il est question de Clint Eastwood et du concours

   Chercheur intrépide, bête de concours, Indiana Jones du wikipédia, Lara Croft de l'ImDB, te voilà au pied du mur, face à tes réponses, nu comme un vers (sans raison, certes, mais j'aime l'idée que tu sois tout nu devant tout le monde) et tu attends ton sort, ta liste en main. Sache, petit haricot rouge, que tu n'as pas gagné, que personne n'a gagné mais il s'en est fallu de peu, de vraiment peu. Allez hop, en route pour les réponses...

   Number one : l'inspecteur Harry Callahan, Dirty Harry, Don SIEGEL, 1971. Pour mémoire, le méchant idiot ne tente pas sa chance même si Harry avait bien tiré 6 coups. A la fin du film, Harry répète la même réplique au méchant méchant (Scorpio), mais le renégat tente sa chance sauf que Harry n'avait tiré que 5 coups...

   Number two : Red Stovall, Honkytonk Man, Clint EASTWOOD, 1982. Magnifique film, crépusculaire, dirait un critique des Cahiers (genre d'adjectif dont on ne comprend pas trop le sens mais ça fait bien) où Eastwood peut enfin s'époumoner et révéler son goût pour la country (au sens propre).

   Number three : Frankie Dunn, Million Dollar Baby, Clint EASTWOOD, 2004. Réplique assénée à Maggie Fitzgerald (Hilary Swank, avant son torticoli).

   Number four : Rowdy Yates, "Incident of the tumbleweed", Rawhide (saison 1), Richard WHORF, 1959. J'aurais bien présenté des excuses aux quelques-uns qui ont tenté de proposer une réponse, en l'occurrence Josey Wales hors-la-loi (1976), en s'échinant à essayer de trouver le film dans lequel Eastwood avait un foulard rouge... J'ai ri, je l'avoue. Le rouge est purement une interprétation car la série est en noir et blanc et il n'y avait donc là aucun indice. Il n'était tout simplement pas la peine d'aller fouiller les bases de données du monde entier remplies par des indiennes à peine pubères payées à coup de grains de riz mal lavés mais, en utilisant tes outils vil asticot, une petite requête sur ce qu'il disait - et non à quoi il ressemblait - t'aurait permis d'atteindre le graal, petit mécréant qui lit trop vite les sites essentiels comme ... Ca t'en bouche un coin, non ? Pfff... De la confiture aux cochons, je vous jure...

   Number five : Walt Kowalski, Gran Torino, Clint EASTWOOD, 2009. Sur la Torino, vous trouverez des trucs ici (notamment un passage sur la génération "Walt Kowalsky et Starsky et Hutch" qui nous laisse accroire que la Torino plaisait surtout aux descendants des émigrés polonais...). Et aussi un lien fascinant entre cette Gran Torino et un film dont je vous ai vaguement parlé...

   Number six : l'inspecteur Harry Callahan, Sudden Impact, Clint EASTWOOD, 1983. C'est aussi dans ce film qu'on trouve l'historique réplique du "Go ahead, make my day" soufflée par Eastwood et réutilisée par Ronald Reagan - mais entre cow-boys, on se comprend.

   Number seven : Sergent Tom Highway, Heartbreak Ridge, Clint EASTWOOD, 1986. "On improvise, on domine, on s'adapte". Un classique indépassable de vulgarités de haut-vol. Une merveille.

   Number eight : John Wilson, White hunter, black heart, Clint EASTWOOD, 1990. Un John Wilson intransigeant inspiré par un John Huston sur le tournage de The African Queen de John HUSTON (1951), chef d'oeuvre insubmersible.

   Number nine : Bronco Billy McCoy, Bronco Billy, Clint EASTWOOD, 1980. La petite au fond va se faire déplumer parce que faut pas déconner mais lancer des couteaux avec les yeux bandés et prétendre crever les ballons entre les jambes, bah faut pas déconner. Enfin, juste une égratignure. Mais quand même.

   Number ten : Mr Glover, Midnight in the garden of Good and Evil, Clint EASTWOOD, 1997. Un des personnages incroyables de Savannah décrit par Berendt dans l'adaptation d'Eastwood. Mr Glover promène le chien Patrick parce qu'il touche un salaire jusqu'à la fin de ses jours pour cette tâche, telle avait été la promesse de son patron avant qu'il ne décède et que le chien ne meurt aussi. Un de mes films préférés d'Eastwood. Ne serait-ce que pour l'unbelievable Lady Chablis ! Je crois, petit chow-chow du net, que ta culture eastwoodienne mériterait un détour par la Géorgie...

   Number eleven : Robert Kincaid, The Bridges of Madison Country, Clint EASTWOOD, 1995. Indépassable. Cette scène est une torture et on aura beau rationaliser, expliquer, justifier le geste - ou son absence - de Francesca, cette ondée qui pénètre Robert est une pluie de larmes.

   Number twelve : John Edgar Hoover, J. Edgar, Clint EASTWOOD, 2011. Pas vu encore. Juste des affiches et la bande-annonce. Probablement bien placé pour les Oscars.

   Merci aux participants, qu'ils trouvent ici, dans ces mots d'une sobriété simple et pure et pléonasmatique, mon respect. Yo, les mecs.

15 janvier 2012

Un an

Voilà, ça fait un an de blog. C'est cool, je suis toujours là. Bon anniversaire moi.

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